Celle ci peut être traitée, suivant les contraintes environnementales ou climatiques, de diverses manières :

1_ Toiture montagne à partir d’une altitude de 900 m.

La réglementation impose la mise en œuvre d’une double couverture étanche avec vide d’air incorporé. La couche inférieure peut être constituée d’une calandrite soudée sur un platelage ou d’un film pare pluie résistant.

La couche supérieure visible sera composée soit de bac acier colorés, soit de tuiles de terre ou de béton, non gélives ou encore de bardeaux de mélèze.

2_ Toiture à une altitude inférieure à 900 m.

Celle ci peut être mise en œuvre après pose d’un film pare pluie et respect d’un vide d’air, avec des tuiles de terre cuite canales scellées sur une tôle en fibres de ciment, de tuiles terre cuite mécaniques ou ciment posées sur un litelage, ou de pièces métalliques (zinc ou cuivre) suivant l’usage local ou les prescriptions architecturales spécifiques au projet.

3_ Toiture terrasse.

Elle est généralement constituée d’un support bois  (KLH^® ou panneaux d’OSB^®) sur lequel est posé un isolant thermique et au dessus duquel un complexe d’étanchéité multicouche, agrafé puis soudé protège des eaux pluviales.

Les toitures terrasses peuvent être accessibles ou non accessibles au public et le complexe d’étanchéité peut être auto protégé ou nécessiter une protection complémentaire (gravier, chape de mortier et carrelage, platelage bois) suivant l’usage.